Given the recent experiences with border infrastructure funds and aboriginal housing and education, would it not make more sense to consider program activities (five, 10 or 15 per department) or their associated outputs as more relevant control gates?
Étant donné les cas récents du Fonds sur l'infrastructure frontalière et des fonds pour le logement et l'éducation des Autochtones, ne serait-il pas plus logique de considérer les activités de programme — 5, 10 ou 15 activités par ministère — ou leur rendement comme moyen de contrôle plus approprié?