The wording in subsections (5) and (6) removes the defence of mistaken belief in consent where that belief was based on the accused's self-induced intoxication or recklessness or wilful blindness.
La formulation des paragraphes (5) et (6) exclut le moyen de défense fondé sur le fait que l'accusé croyait avoir obtenu le consentement si cette croyance provient soit de l'affaiblissement volontaire de ses facultés, soit de son insouciance ou d'un aveuglement volontaire.