In Bill C-24, which didn't go as far as Bill C-2—in the sense that it allowed union and corporation loans at the level of $1,000, which is pretty limited, but left the individual, basic unit of democracy at $5,000—part of the government's consideration at the time was not to unduly infringe on the political, democratic rights of individuals under the charter to express themselves and take part in a meaningful way in the political process.
Lorsque le gouvernement a déposé le projet de loi C-24, qui n'allait pas aussi loin que le projet de loi C-2 — puisqu'il permettait aux syndicats et aux entreprises de consentir des prêts de 1 000 $, un montant assez restreint, mais laissait aux particuliers le droit démocratique fondamental de consentir des prêts de 5 000 $ — il souhaitait ne pas enfreindre les droits démocratiques et politiques des particuliers en vertu de la Charte, à savoir de s'exprimer et de participer au processus politique de façon significative.