In response, the Attorney General of Canada defended the Divorce Act’sone-year residency requirement, but also argued that, because of the principles of private international law, the women could not get divorced because they were not legally married, even in Canada:
Dans sa réponse, le procureur général du Canada a défendu l’exigence de résidence d’un an prévue par la Loi sur le divorce; toutefois, il a également souligné qu’en vertu des règles du droit international privé, les deux femmes ne pouvaient pas divorcer parce qu’elles n’étaient pas légalement mariées, même au Canada :