Comme l’avait fait observer le délégué hollandais à la première Conférence internationale de l’opium à La Haye en 1911, les monopoles d’État conviennent mieux à certains pays que la prohibition pure et simple (À ce propos, le même délégué avait dit qu’il espérait qu’un jour, des modèles de remplacement à un système mondial d’interdiction verraient le jour [7].
As the Dutch delegate to the first international Opium Conference at the Hague in 1911 remarked, for some countries state monopolies are better than full blown prohibition (The same delegate said, by the way, he hoped that at some moment, alternative models to a global prohibition might see the light.[7]