Si vous me demandez si le contribuable canadien devrait assumer une part du fardeau d'un déversement catastrophique en gu
ise de remerciement pour les nombreuses années de redevances et d'emplois créés, je dirais non. Je n'appellerais pas cela une forme de remerciement, mais M. Cullen a parlé d'une subvention, et je ne verrais pas le contribuable.Même si nous avons obtenu 60 a
ns de redevances, d'emplois, de prospérité économique ainsi qu'un régime en ma
...[+++]tière de sécurité clairement défini et que l'entreprise n'est pas fautive relativement à un déversement, dans le pire des scénarios, je ne parlerais pas d'une subvention, et je n'oserais pas non plus appeler cela une forme de remerciement.
If you're asking me, should the Canadian taxpayer welcome the shouldering of some burden of a catastrophic spill as a form of thank you for many years of royalties and jobs created, I'd say no. I wouldn't characterize it as a form of thank you, but Mr. Cullen characterized it as a subsidy, and I wouldn't see the taxpayer.Where we've had 60 years of royalty return, jobs, economic prosperity, and a clear, defined safety regime where there's no fault of the company in terms of some spill, in the worst-case scenario, I wouldn't characterize it as a subsidy as much as I'd dare to characterize it as a thank you.