Le fait est que les profits, calculés en pourcentage du PIB, ont atteint des niveaux pratiquement inégalés, tandis que la croissance des salaires continue de ralentir et que ceux-ci restent en deçà du taux de productivité de la main-d’œuvre. En d’autres termes, les gains de productivité finissent encore et toujours entre les mains des employeurs.
The truth is that the profits, as a percentage of GDP, are at one of the highest ever levels, whilst salaries continue to slow down and grow below the rate of labour productivity; in other words, the gains in productivity are still going to the employers.