While initially intended as an efficiency exercise in turning out transcript, Ron foresaw as early as 1992 in an article he wrote for the Canadian Parliamentary Review that real-time transcription, as performed by our parliamentary reporters in the middle of the chamber, could be turned to the purpose of providing closed captions in both official languages for televised proceedings.
Même si, à l'origine, il s'agissait de rendre le processus de transcription plus efficient, Ron a vu dès 1992, comme en témoigne un article qu'il a écrit pour la Revue parlementaire canadienne, que la transcription en temps réel effectuée par nos sténographes parlementaires installés dans l'allée centrale pouvait servir au sous-titrage, dans les deux langues officielles, des débats télévisés.