Selon moi, c'est l'honorable John Crosbie, le ministre de la Justice lors de la mise en vigueur de la nouvelle loi, qui a donné le ton aux administrations suivantes, lorsqu'il a fait fi de celle-ci, la considérant comme un outil pour les « semeurs de trouble » dont l'objectif est « très souvent » de tout simplement « embarrasser les dirigeants politiques et d’émoustiller le public ».
I think the hon. John Crosbie, the first justice minister to be responsible for the new access act, set the tone for all future administrations when he dismissed the new law as a tool for “mischief-makers” whose objective “[i]n the vast majority of instances” is simply to “embarrass political leaders and to titillate the public”.