In effect, one of the main concerns when that program was instituted was that prisoners would switch from the relatively harmless drug cannabis to heroin and cocaine, drugs which stay in the blood for shorter periods of time and are, thus, less detectable.
De fait, au moment de la création de ce programme, on craignait surtout que les détenus passent d'une drogue relativement inoffensive, comme le cannabis, à l'héroïne et à la cocaïne, drogues qui demeurent dans le sang moins longtemps et qui sont par le fait même plus difficiles à déceler.