If CBC/Radio-Canada is not given the means to carry out its mandate, particularly given the current economic climate, the corporation could well fall back onto safe, risk-free programming, which will make it even more like private broadcasters by prompting it to invest less in youth programming and local stations and reducing funding for international news, which should be the corporation's flagship service.
CBC/Radio Canada n'ayant pas les moyens de remplir son mandat, surtout en tenant compte de la conjoncture actuelle, la société risque de se replier sur des valeurs sûres, sans risque, qui vont la rapprocher encore plus des diffuseurs privés, en l'incitant à investir moins dans le secteur jeunesse, moins dans les stations locales et en réduisant les budgets à l'information internationale, qui devrait être sa bannière la plus prestigieuse.