Although data on newly arrived migrants is not comprehensive, partly due to the large numbers of irregular and clandestine workers thought to be working in a number of Member States, official data (European labour force survey) suggests that employment rate patterns are generally worse for first generation migrants - especially for women - than for the population as a whole.
Même si les données sur les immigrés récemment arrivés ne sont pas exhaustives, en partie en raison du nombre élevé des travailleurs irréguliers ou clandestins qui se trouveraient dans certains États membres, les chiffres officiels (enquête sur le marché européen du travail) indiquent que les taux d'emploi sont généralement moins élevés pour les immigrés de la première génération - en particulier les femmes - que pour la population dans son ensemble.