Therefore, the enclosing of a mere draft law, which has not acquired any legislative force, with the Republic of Cyprus’s letter in response cannot be equated to a binding act removing the provisions in force regarding the acquisition by EU/EEA nationals of residences for secondary use.
Par conséquent, le fait pour la République de Chypre de joindre à sa réponse un simple projet de loi qui n’a aucune force juridique ne saurait être assimilé à un acte contraignant levant les restrictions à l’acquisition d’une résidence secondaire par des ressortissants de l’UE/EEE.