During 2011 renewed tensions in sovereign debt markets, concerns about the banking sector, looming uncertainty about the economy in a context of high oil price and decelerating world output growth contributed towards the end of the year to a sharp loss of confidence and the subsequent output contraction.
En 2011, un regain de tensions sur les marchés de la dette des États, les inquiétudes suscitées par le secteur bancaire, les incertitudes planant sur l'économie alors que le prix du pétrole augmentait et que la croissance de la production mondiale ralentissait ont conduit à la fin de l'année à une nette perte de confiance et, par voie de conséquence, à une contraction de la production.