Malgré cela, le risque de violence ou de tort causé à un étranger suite à un contact occasionnel avec une personne atteinte de trouble mental reste très minime, et la contribution globale des maladies mentales au niveau total de violence dans la société est exceptionnellement petite.[111] De ce fait, selon M Scheffer : « En tant qu’indicateur prévisionnel de violence, la maladie mentale se retrouve bien avant, et de loin, d’autres facteurs de risque tels que l’âge, le sexe et les antécédents de violence ou d’abus de substance.[112] »
Still, there is very little risk of violence or harm to a stranger from casual contact with an individual who has a mental disorder and the overall contribution of mental disorders to the total level of violence in society is exceptionally small.[111] In this regard, Ms. Scheffer commented that, “as a predictor of violence, mental illness ranks far behind other risk factors like age, gender and history of violence or substance abuse”. [112]