Comme le souligne le rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sur le cannabis, si l’on tient compte de l’ensemble de ces facteurs, la quantité réelle de THC absorbée par l’usager de cannabis est difficile à estimer.[40] En somme, si la question de la teneur en DTHC doit effectivement nous préoccuper, elle soulève probablement bien plus notre capacité à la contrôler et à en mieux connaître les effets qu’à justifier l’expression de tout et n’importe quoi.
As emphasized in the report of the World Health Organization (WHO) on cannabis, considering all these factors, the actual quantity of THC absorbed by the cannabis user is difficult to estimate.[40] Ultimately, while it can be a legitimate preoccupation, the real issue of DTHC content has more to do with our ability to control it and better know its effects, rather than making all kinds of alarmist and unfounded statements about its level.