Pour exprimer la quintessence des principes communautaires sous-jacents d'universalité, d'indivisibilité et d'interdépendance, la Commission rappelle "la relativité du principe de non-ingérence compte tenu de ce que les "différentes formes d'expression traduisant la préoccupation suscitée par les violations de ces droits ainsi que d'interventions visant au rétablissement de ces droits ne sauraient être considérées comme des ingérences dans les affaires intérieures d'un État et constituent un élément important et légitime du dialogue avec les pays tiers".
As quintessence of the underlying Community principles of universality, indivisibility and interdependence, the Commission reiterates the "relativity of the principle of non-interference, in that 'the different ways of expressing concern about violations of rights, as well as requests designed to secure those rights, cannot be considered as interference in the internal affairs of a State, and constitute an important and legitimate part of their dialogue with third countries".