De plus, susciter des tensions à l'étranger permettait de détourner l'attention des problèmes intérieurs, et mener une guerre asymétrique donnait à Téhéran une arme puissante à un moment où son armée et son économie étaient faibles. Selon les rapports produits par la CIA à la fin des années 1980, les dirigeants iraniens voient le terrorisme comme étant un instrument important de la politique étrangère à utiliser pour faire avancer les objectifs nationaux, mais aussi pour exporter les idéaux révolutionnaires islamistes du régime.
According to CIA reporting in the late 1980s, Iranian leaders view terrorism as an important instrument of foreign policy that they use both to advance national goals and to export the regime’s Islamic revolutionary ideals.