Il lui est reproché, d'une part, de n'avoir pas interdit le commerce de toutes les espèces animales et végétales menacées d'extinction protégées par la législation communautaire et, d'autre part, d'avoir exclu les projets immobiliers concernant les «Terres de la Couronne» (Crown Land) des procédures d'évaluation des incidences sur l'environnement et de consultation du public.
They concern the UK's failure to prohibit trade in all endangered animals and plants under EU protection, and the exclusion of Crown Land developments from environmental impact assessments and public consultations.