M. Robertson a fait observer qu'aucune disposition particulière n'avait été prévue pour gouverner la conduite du premier ministre car il n'était jamais venu à l'esprit de qui que ce soit que les actions d'un premier ministre pouvaient en nécessiter, du moins pas jusqu'à ce que le présent gouvernement fasse tout un plat de la nomination d'un conseiller à l'éthique, pour ensuite tourner cette fonction en dérision en obligeant le titulaire à rendre compte non pas au Parlement, tel que promis, mais au premier ministre.
Mr. Robertson noted that there had been no specific provisions governing the prime minister because it never occurred to anybody that a prime minister's actions would require guidelines, not until this government made a show of appointing an ethics counsellor and then made a sham of that office by having it report not to Parliament, as promised, but to the Prime Minister.