Toutefois, ABB rejette la responsabilité sur Løgstør en invoquant le fait que celle-ci a demandé une augmentation de son quota, avis apparemment partagé par Henss, qui estime (compte rendu de la réunion du conseil de surveillance du 3 février 1994, figurant dans la correspondance communiquée par Isoplus au titre de l'article 11) que Løgstør a débauché l'un des principaux «clients traditionnels» d'ABB grâce à des prix très bas, afin de convaincre ABB de renoncer à des parts de marché en sa faveur.
ABB, however, attributed the blame to Løgstør's demands for an increase in its quota, a view apparently shared by Henss which judged (Minute of Beiratsitzung of 3 February 1994, included in Isoplus Article 11 correspondence) that Løgstør had taken a major 'traditional customer` from ABB at low prices in order to persuade ABB to give up market share in favour of Løgstør.