M. Legras est revenu sur cette question le 30 mars 1990, dans une note adressée à M. Dewost, directeur général des Services juridiques de la Commission, en lui demandant de procéder à une étude plus approfondie et en évoquant la possibilité de fonder la décision sur l'article 9, paragraphe 4, de la directive 89/662/CEE, qui, en tant que clause de sauvegarde générale, n'exige pas de mesures de transposition en droit national.
Mr Legras returned to the attack on 30 March 1990, in a note to the Director-General of the Commission's Legal Service, in which he called on him to examine the matter in greater detail and suggested that the decision could be based on Article 9.4 of Directive 89/662, which, being a general safeguard clause, did not need to be incorporated into Member State law.