En Chine, par exemple, le cannabis figure encore dans la Pharmacopée nationale. Dans son célèbre ouvrage intitulé Pen-Ts’ao (publié en 1578), le plus grand herboriste chinois, Li Shizen, recommande le cannabis pour toutes sortes de malaises, y compris la nervosité et la sénilité, et explique que les hallucinations et la démarche instable proviennent d’un usage immodéré de cette substance (nous soulignons).
The greatest of the Chinese herbalists, Li Shizhen, recommended it in his famous work, the Pen-ts'ao, back in 1578 for a host of ailments including " nervous feelings" and " senility" , explaining that " hallucinations and an unsteady gait" come through" immoderate use" (emphasis added)