En effet, la loi américaine applicable, qui remonte à 1959, oblige tout syndicat dont le siège social est situé aux États-Unis à faire rapport sur ses succursales à l'étranger, ce qui signifie, par exemple, que si un Canadien souhaitait obtenir des renseignements sur le président du Syndicat canadien des métallurgistes, alors il n'aurait qu'à consulter le site Web du département du Travail des États-Unis pour connaître le salaire et les dépenses du président ainsi que son emploi du temps.
That's because under the U.S. legislation, which was written way back in 1959, any union headquartered in the United States must also report on its foreign subsidiaries, which means, for example, that if a Canadian wants to know details about the leader of the United Steelworkers in Canada, that person could easily search the U.S. labour department website and discover the salary and expenses of that individual, along with information about how he allocates his time.