Sur l'état des finances publiques, nous arrivons, sur le niveau des surplus budgétaires—que l'ancien ministre des Finances et aspirant à la succession de l'actuel premier minist
re, qui a connu des erreurs de prévision sur les surplus et les déficits, au début, d'environ 200 p. 100 par année, en moyenne—, nous, nous pouvons nous enorgueillir d'avoir ob
tenu des erreurs de prévisions qui correspondent à peu près à la marge d'erreur à laquelle on peut s'attendre lorsqu'on fait des prévisions de type-là, c'est-à-dire autour de 3 et 4 p. 10
...[+++]0. Pourtant, la calculette à 3,98 $ et quelques personnes pour échanger, surtout dans les grandes institutions financières, nous ont permis d'obtenir ces résultats.
As for the state of public finances, in calculating the budgetary surplus—something the former Finance Minister and potential successor to the current Prime Minister made forecasting errors about, in the size of the surplus and deficit, at the beginning, of around 200% per year, on the average—we have every reason to be proud, because our forecasting errors are around 3 to 4%, which is the margin of error one usually expects when making this type of forecast. And yet, it was the $3.98 pocket calculator and a few connections, especially in the major financial institutions, that enabled us to get these results.