Effectivement, dans son rapport d'enquête préliminaire, le commissaire aux langues officielles a conclu que le Bureau du Conseil privé avait fait défaut de respecter ses obligations en ne tenant pas compte des exigences linguistiques découlant du paragraphe 24(3) de la Loi sur les langues officielles, qui mentionne expressément le Bureau du vérificateur général, ce qui nie carrément l'esprit des parties IV, V et VII de la loi lors du processus de nomination de M. Ferguson au poste de vérificateur général.
In fact, in his preliminary report on the investigation, the Commissioner of Official Languages concluded that the Privy Council Office failed to meet its obligations by not taking into consideration the language requirements set out in subsection 24(3) of the Official Languages Act, which mentions the Office of the Auditor General specifically. It clearly disregarded the intent of Parts IV, V and VII of the Act during the process of appointing Mr. Ferguson as Auditor General.