L’accusé estimait par ailleurs que, comme la marijuana ne cause pas vraiment de tort à la collectivité (ou du moins pas plus que le tabac ou l’alcool), son interdiction était arbitraire et irrationnelle et, par conséquent, contraire aux principes de justice fondamentale.
He further claimed that, as marijuana is not really harmful to society – or, at least, no more harmful than tobacco or alcohol – the ban is arbitrary and irrational, and thus contrary to the principles of fundamental justice.