This evaluative research, and I am thinking of some research conducted by my colleague Dr. Quinsey and his team or other research done by my colleague Dr. Hanson, who is also here with his team, has effectively shown that, especially in the case of extra-familial abusers, there is no great improvement in the area of risk of recidivism or dangerousness, regardless of whether or not the individual has had psychotherapy.
Ces recherches évaluatives — et je pense à certaines recherches de mon collègue Quinsey et de son équipe ou à d'autres recherches de mon collègue Hanson, qui est ici présent avec son équipe — démontrent effectivement, surtout pour les abuseurs extra-familiaux, qu'il n'y a pas énormément d'amélioration du risque de récidive ou de la dangerosité, peu importe s'ils ont été soumis à une psychothérapie ou non. Et s'ils ont été soumis à une psychothérapie, le type de thérapie importe peu.