L'une des difficultés qui se posent — et que je trouve douloureusement évidente dans le processus auquel je prends part et dans le cadre de ma présence hier à Toronto pour l'enquête relative à Ashley Smith —, c'est que la dichotomie erronée voulant qu'on ne peut être que victime ou agresseur est on ne peut plus fausse. Quand les prisons débordent de personnes qui ont survécu aux sévices subis dans les pensionnats, à la violence en générale ou aux
problèmes de santé mentale, et qu
and on assiste à la dégénérescence des programmes sociaux et des soins de santé, il s'installe un
...[+++]climat de victimisation accrue où bien des citoyens sont abandonnés par l'État.
One of the challenges—and it's painfully clear to me, in the process I've been going through and in being in Toronto yesterday at the inquest into Ashley Smith—is that the false dichotomy of people being victims or offenders is just that; that when we have prisons filled with people who have survived residential school abuses or violence generally or mental health issues, and when we see the evisceration of social programs and health care, we see a creation of the climate for increased victimization of many people and the abandonment of those people by the state.