De même, l'avocat général Jacobs a rappelé, au point 38 de ses conclusions du 18 septembre 2003 (non encore publiées au Recueil) dans l'affaire C-91/01, Italie/Commission, que "Le pouvoir d'appréciation de la Commission ne peut être limité de manière définitive par l'adoption de tels textes (nota: lignes directrices ou autres 'soft law')".
In the same way, Advocate General Jacobs points out, in point 38 of his conclusions of 18 September 2003 (not yet published in Recueil) in Case C-91/01, Italy v Commission, that "the Commission's power of assessment cannot be limited definitively by the adoption of such texts" (note: guidelines or other forms of "soft law").