En ce qui concerne la dualité linguistique, bien que les Canadiens appuient le bilinguisme dans une proportion de 65 p. 100 et qu’à l’échelle mondiale la plupart des gens auxquels vous poseriez la question vous diraient probablement qu'ils n'ont aucune objection et qu'ils sont très favorables à ce que leurs enfants — ou la population en général — connaissent plus d'une langue, l'autre dimension du sondage, un peu plus préoccupante, c'est la proportion de gens qui indiquent ne pas se sentir enrichis par notre dualité linguistique.
I'll say this in closing. On the language duality issue, while Canadians in general—65%—do support bilingualism, and while in fact around the globe most people you ask would probably say that they have no objection and are very supportive of their children or their population knowing more than one language, the other dimension of our survey, which is a bit more of an area of concern, is the extent to which people say they don't feel enriched by our linguistic duality.