L’un de ces visages de la stratégie de Lisbonne pour la décennie 2000-2010 est avenant. Il évoque, je cite le texte des conclusions du Conseil européen de printemps 2005, «la nécessité d’investir dans le capital humain, qui est l’atout le plus important de l’Europe»; il annonce davantage d’emplois, même le plein emploi, ainsi que des emplois de meilleure qualité; il souligne l’importance de la recherche, de l’éducation, de l’innovation, ainsi que d’un tissu industriel solide sur l’ensemble du territoire de l’Union; il met même en avant l’objectif visant, je cite, «à mettre fin à la perte de diversité biologique d’ici à 2010».
One of these faces of the Lisbon Strategy for the ten-year period 2000–2010 is pleasing and calls to mind the conclusions of the 2005 spring European Council with their talk of the need for, and I quote, ‘investing in human capital [which is] Europe’s most important asset’. It heralds more jobs – even full employment – as well as better quality jobs. It emphasises the importance of research, education and innovation, as well as of having a solid industrial fabric throughout the territory of the EU. It even puts forward the objective, and I quote, of ‘halting the loss of biological diversity between now and 2010’.