L'Association canadienne du personnel administratif universitaire estime que le coût cumulatif des dépenses d'entretien différé dans nos établissements pourrait atteindre 3,6 milliards de dollars, à un moment où les universités doivent déjà investir dans de nouvelles technologies d'apprentissage coûteuses, où elles doivent absorber une augmentation de 20 p. 100 du nombre des inscriptions et où elles doivent, pour le faire, agrandir leurs locaux.
The Canadian Association of University Business Officers has estimated that the accumulated cost of deferred maintenance in our institutions is as high as $3.6 billion — this at a time when the universities already have to invest in expensive new learning technologies and at a time when they are confronted with this projected 20 per cent increase in enrolment and the consequent need for expansion of physical facilities.