Cette frustration va droit au coeur du contentieux sur le bois d'oeuvre. Dans des discussions hier et aujourd'hui, l'industrie de la Colombie-Britannique—qui représente environ la moitié des producteurs de bois d'oeuvre, qui injectent à peu près 5 milliards de dollars par année dans l'économie—veut obtenir un accord de suspension, parce qu'elle cherche désespérément à régler ce problème, parce qu'elle ne sait pas si elle pourra survivre le temps qu'il faudra.
In discussions yesterday and today, the B.C. industry—which is about half the softwood lumber dispute, putting about $5 billion or so into the economy a year—is looking for a suspension agreement, out of their desperation to get this resolved, because they don't know if they'll be able to survive the timeline.