Admettre qu'on souffre d'un trouble de stress post-traumatique, c'est une chose, mais affirmer qu'on éprouve des problèmes cliniques ou qu'on est déprimé ou qu'on est toxicomane et ainsi de suite.Voyez-vous que la situation change de quelque façon que ce soit, notamment dans la façon de mieux assurer la transition, sinon la stigmatisation est-elle, selon vous, un problème très grave?
It's one thing to accept post-traumatic stress disorder, but to say you actually have clinical problems or are depressed or you have dependencies and so on.Do you see any change taking place in that or ways to bridge that gap, or is the stigma still, in your minds, a very serious problem?